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Psychologist Session

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Les troubles du comportement Alimentaires

Les Troubles des Comportements Alimentaires (TCA) sont des vrais phénomènes de société. Nous sommes dans une société de consommation et de profusion, la nourriture devient à la fois un objet de convoitise et d’interdits. Manger n’est plus un acte naturel contrairement à des milliers d’années en arrière ou l’être humain cherchait à contenter sa faim pour survivre. Chaque jour il devait trouver sa nourriture pour lui-même et sa famille. Manger était un acte spontané. Il fallait il y a peu, «manger pour vivre», «manger pour grandir», «manger pour être fort et en bonne santé». Manger était un acte de vie et de dominance puisque les riches mangeaient à leur faim alors que les pauvres devaient travailler (beaucoup) pour les riches afin de manger un peu.
Cependant, de nos jours, dans les sociétés occidentales, le problème semble s’être déplacé. Le souhait de chacun n’est plus du tout de manger plus. Au contraire, il s’agit de manger santé; de manger moins ou encore de ne plus manger. D’une nécessité vitale de l’acte de manger nous sommes passés à une nécessité de contrôle sur l’acte de manger. Manger ne doit plus nous combler de l’intérieur (pour faire fonctionner notre organisme) mais être visible de l’extérieur. L’Acte de manger et devenu l’instrument indispensable pour être vu et non pas pour être repu. Tout le monde pense qu’il est «naturel» de manger, même les médecins. Or manger n’est pas naturel mais appris, au moins pour un omnivore, les troubles des comportements alimentaires commencent et se terminent dans l’assiette, là se situent à la fois leur spécificité et la difficulté de leur traitement; ces troubles agissent sur le psychisme de l’individu comme une drogue. Mais une énorme différence existe entre les TCA et les drogues. S’il est possible de supprimer le tabac l’alcool ou l’héroïne ce n’est pas le cas avec la nourriture. Car elle est indispensable à notre vie contrairement aux drogues. La société nous confronte aujourd’hui à la réalité de ces différentes conduites regroupées sous le terme générique «addictions"

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Les Addictions

L’addiction en tant que telle n’est évidemment pas repérable dans la petite enfance (nous ne buvons pas, nous ne nous droguons pas, nous n’avons pas les moyens de faire de crises de boulimie) mais en revanche, si nous y prêtons attention, les dysfonctionnements émotionnels et relationnels existent déjà en filigrane. C’est généralement à la fin de l’adolescence qu’apparaît l’addiction en tant que telle.
Au cours des dernières décennies, le concept «d’addictions comportementales» ou «toxicomanies sans drogue» a rassemblé un relatif consensus pour rendre compte de tableaux cliniques variés (troubles du comportement alimentaire, achats compulsifs, cyberaddictions, jeu pathologique…), mais ayant en commun certaines caractéristiques psychopathologiques. Les addictions comportementales sont le résultat d’un processus interactionnel entre un individu et un objet externe ou une activité banale, mise à disposition de tous, qui conduit à une expérience sur laquelle se développe une dépendance principalement psychologique en raison des effets plaisants qu’elle procure et des fonctions qu’elle remplit. Cette dépendance, qui se traduit par la répétition de la conduite, la perte de contrôle, la centration et le besoin, peut entrainer des conséquences négatives pour la personne et son entourage. Ce qui distingue les addictions comportementales des addictions aux substances psychoactives c’est l’objet de l’addiction lui-même.

Image de Markus Spiske
Spécialités: Bienvenue

« On plait avec son apparence et on séduit avec ce qu’on est ; tout le monde ne peut pas plaire, mais tout le monde peut séduire. Séduire est un état d’être »

Spécialités: Citation célèbre
Child Psycholgist

Troubles de l'attachement

Le terme d’attachement désigne une base solide sur laquelle on se construit, si celle-ci venait à s’étioler ou à être absente la construction de l’ homme s’avère fragilisée semée d’embuches.
L’attachement c’est un lien affectif durable qui se construit durant les premières années de l’être humain. C’est un système neurobiologique qui assure la protection physique et le développement psychologique. L’attachement dans une relation sécurisante est un lien à la fois souple et solide.
Le besoin d’attachement serait inné mais l’attachement, lui, serait appris ; il dépend donc de la qualité des soins de la mère à son enfant. Dans cette perspective, Bowlby, même s’il ne récuse pas la notion d’inconscient, envisage que l’attachement est basé sur les interactions réelles entre l’enfant et ses figures d’attachement.
Pour Bowlby, l’agent pathogène serait la perte de la figure d’attachement, la disparition de l’objet réel.

La théorie de l’attachement (Bowlby)

  • Consiste à Éprouver (ou rechercher) un sentiment de sécurité de bien être en la présence de sa figure d’attachement (père/mère généralement)

  • Cette figure d’attachement permet à bébé de se construire Base de sécurité pour explorer le monde.

  •  La séparation prématurée, répétée ou durable d’avec cette figure conduirait l’enfant à trouver des substituts pour compenser la souffrance liée à l’absence​ »

Van Damme, 2006

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Therapy Session

Troubles anxieux

L’appellation des troubles anxieux regroupe plusieurs souffrances que tout un chacun peut être amener à ressentir ou éprouver au cours de sa vie et peut la rendre invalidante
C’est bien quand elle est invalidante qu’il faut venir consulter. Elle se manifeste très souvent par le corps et peut avoir des répercussions sur notre sommeil sur nos comportements sociaux d’achats alimentaires etc

  • La peur :

    • C’est une réaction émotionnelle face à un danger connu, un objet identifié, et ça peut être une peur face à danger réel ou imaginaire.

    • C’est généralement une émotion normale, et elle peut aussi constituer un signal de danger qui sert à la survie de l’être humain, à sa protection.

    • Mais la peur devenir pathologique si elle est trop intense, inadaptée ou trop prolongée. Certaines peurs peuvent être paralysante, complètement inadaptée, et on se rapprochera alors des phobies.

  • L’anxiété :

    • C’est une émotion.

    • Il y a toujours deux versants dans l’anxiété :

    • Il peut y avoir des aspects positifs de l’anxiété, qui permet d’augmenter la vigilance, la mobilisation, l’attention et aussi les performances intellectuelles et physiques.

    • L’anxiété pathologique : c’est une anxiété qui est trop importante en intensité et en durée. Les symptômes sont source de souffrance, ou de gêne pour le patient ou pour son entourage

    • L’anxiété c’est la crainte d’un danger imprécis, c’est souvent une réaction à un sentiment de danger qu’on ne connait pas vraiment, avec l’idée pénible d’une attente, d’une menace.
      L’anxiété peut remplir une fonction d’alarme, une fonction défensive, de survie qui apparaît lorsque les capacités adaptatives d’un sujet sont dépassées. Cette fonction d’alarme est plutôt sur l’anxiété faible, et permet de se protéger, de fuir le danger en mettant parfois en place des rituels communément appelés TOCs

On peut Guérir de troubles anxieux
Leurs guérisons peuvent être dues à la reconnaissance de l’objet, de la situation, du comportement anxiogène ce que permet la prise en charge de la personne lors d’une psychothérapie. La résolution des troubles anxieux peuvent amener à un bien être intérieur et extérieur notable a une meilleure estime de soi ainsi qu’une meilleure connaissance de soi et de ce fait à une meilleure confiance en soi. Il est donc important de ne pas les banaliser.

Psychoanalyst

Handicaps physiques 

Le regard de la société envers les personnes porteuses de handicap et souvent très dur. En effet, dans une société où l’individualisme, la productivité et la peur de la mort sont prépondérants, le handicap ou la maladie constituent un rappel constant de nos limites et de notre finitude. La personne handicapée fait peur, est blâmée de toutes les incapacités pour mieux pouvoir rester dans une illusion d’une vie sans limite.

Cette image d’incapacité que la société lui attribue, la personne en situation de handicap la fait sienne : je ne suis capable de rien, jamais je ne pourrai travailler ou trouver l’amour…

Pourtant, il faut laisser le handicap à sa juste place : entre déni et sur-attribution, reconnaître ses limites, sans se laisser enfermer dedans. Avoir un regard positif et tourné vers le possible. Il n’y pas de solution facile. Mais cela aide de considérer son handicap non pas comme un grand drame insoluble mais bien en le décortiquant en multiples situations-handicaps pour lesquelles il faut soit trouver une adaptation, soit les accepter.

Mon rôle consiste à vous aider, ainsi que vos proches à surmonter, accepter et vous adapter à un handicap physique et nous pourrons mettre en place des séances dont nous définirons ensemble le type et le rythme afin qu’elles soient le mieux adaptées à vos besoins et à votre situation. Chaque cas étant unique du fait de la complexité et l’unicité de chaque patient que je rencontre, les séances et la durée varient et sont définis ensemble.

Situé à Tours en Indre et Loire, notre cabinet est à votre disposition et votre écoute, n’hésitez pas à nous contacter pour plus d’informations.




« Béquilles, fauteuil ou autre une différence extérieure qui fait notre force intérieure. La différence la pluralité de notre pays. La différence nous rend tous uniques et semblables à la fois. La différence notre marque de fabrique. L’essence même de l’être humain c’est la différence. La défense de la tolérance face à la différence est primordiale. C’est notre élan vital. »

Eva Liegard

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